Un p'tit café pour démarer [PV Tsurara Yoshida]

Ken avait la tête dans le c**, comme tous les matins. Il venait d'arriver au lycée, très tôt comme tous les jours, et s'avança vers la cafétéria. Oui, s'il y avait bien une chose dont il avait besoin, là tout de suite, c'était un café. Il arriva donc à l'endroit tant espéré et commanda un café avant de s'installer à une table un peu en retrait. Il but une gorgée avant de repenser à son cauchemar de la veille. Depuis un bon moment il passait presque toutes ses nuits à faire des cauchemars plus vrais que nature. La personne qui avait la plus grande importance dans ces cauchemars était Tsurara Yoshida, une amie. Rien qu'à repenser à elle, il soupira et fit la moue. Il n'aimait pas penser à elle, surtout le matin. En tout cas, il n'avait pas le temps de trop y penser en ce moment. Mamoru, son jeune frère, le préoccupait beaucoup, ainsi que son travail au Soma club. Il dormait peu entre les cours, le travail et s'occuper de son frère et de l'appartement. Tout cela était son quotidien, sa vie à cent à l'heure alors que lui ne rêvait que d'insoucience au fond. La vie était dure, c'est vrai, mais il ne s'en plaignait pas. Il s'était juré de faire le travail que son père avait abandonné. Il travaillait même chez le grand père Yoshida, ce qui lui avait permis de faire la rencontre de Tsurara et son frère. Il eut un vague sourire en pensant à tout ça, mais le sourire disparut bien vite. Il venait encore de recevoir un message de Reina sur son portable.

* Elle abandonne toujours pas... kuso ! *

Il soupira et ne prit pas la peine de répondre au messsage. Ce n'est pas qu'il n'en avait pas envie, mais ce n'était ni le lieu, ni le moment... et puis cette histoire appartenait au passé. De toute manière, il vit arriver Tsurara et oublia vite le message en question. Il se rassit correctement sur sa chaise et prit un air absent, détournant vaguement le regard.

Un bruit, un sentiment chaud sur son corps et puis un miollement.
Voila le quotidien matinale de la jeune femme en ce temps de printemps sur Tokyo. La nippone s'étira longuement et agrippa une boule de poil noir pour le caresser doucement et avec amour. Puis s'en alla dans la salle de bain heureusement vide. Elle prit une longue douche chaude et se vit surprit d'etre réveillé et de bonne humeur ce matin, ce qui n'était pas une habitude, veuillez me croire. Le matin, Jiji (grand père) l'appelle la tornade Ra'. Se surnom veut bien traduire le sentiment et l'atmosphère qui reigne dans la vieille batisse le matin au réveil de la jeune adolescente. Après s'etre vétit de son uniforme scolaire la jeune femme déboulla en trombe dans le salon ou elle balança son sac de cours sur le canapé. La elle constata que son grand père était déja dans le jardin en train de donner des graines à ses volatilles. Elle souria comme à son habitude car la pureté de l'ame de son grand père la rendait si fière et amoureuse du vieil homme....
Elle s'activa à préparer le petit déjeuner pour se dernier, a donner du lait au chaton et a préparer le pillulier de l'ancetre avant de filler prendre le métro. Raaa qu'elle dure suplice d'aller en cour ne ? Instinctivement comme tout les matins elle jetta un oeil sur sa montre et constata qu'elle allait etre en avance et pourrait prendre le métro d'avant celui habituelle. Génial pour une fois qu'elle peut ne pas courir des sa sortit de la maison. Elle marcha tout de meme d'un pas rapide et léger. Une fois etre monté dans le métro et s'etre arreté à son arret, la nippone devait encore effectuer dix minutes de marche. Pendant son trajet elle croisa quelques filles qu'elle connaissait depuis l'année passé, d'autres qui était dans sa classe et des garçons bourgeois... ceux la elle ne les appréciés guère sans savoir pourquoi. Après tout elle ne chercher pas à savoir pourquoi, se poser des questions sans interets ne rimerait à rien si se n'est à lui faire perdre son temps. Raaa mais bon ne pas savoir l'intriguer... peut-etre qu'en faite elle les détesté d'etre mieu qu'elle et d'avoir les moyens de chérir leur entourage à leur guises. Si elle en avait les moyens elle offrirait une vie de reve à son grand père et puis se ferrait donner des cours particuliers pour finir son année scolaire et ainsi passer du temps avec son grand père ... Reve Tsu' c'est ce qu'il t'est permis à l'heure actuelle.

Une fois arrivé au lycée, la nippone se fit attraper le bras par une fille de Fuusha Gakuen. Cette dernière n'avait apparemment pas aimé la petite remontrance de la nippone la veille. Sous ses railleries puériles, Tsu' afficha un sourire narquois et moqueur... Raaa cette fille lui cassé les oreilles des le matin et cela pour des broutilles. Une fois encore Tsu' lui dit qu'elle n'aurait pas le choix que tant qu'elle serait une salle petite bourgeoise, il lui faudrait encaisser ses railleries de sa part. La bourgeoise n'appréçiant pas la réponse de Yoshida-chan la giffla au visage. Sous le choque Tsu' pivota sa tete sur le coté droit, passa sa langue sur sa lèvre ouverte et souria de nouveau en faisant fasse de nouveau à la petite bourgeoise. Une foulle de fille de Baka vinrent entouré la bourgeoise et ses copines ainsi que Tsu' qui souriait toujours. Cette dernière ria dans son menton et déclara un.

Tu n'as rien d'autre à me proposer ? ... tu est stupide ce n'est pas en giflant qu'on se fait respecter ici.

Sans attendre Tsu' sera le point et l'envoya violemment dans le visage de la bourgeoise qui attiri à terre. Tsu' fit tourner sa tete de façon à mieu encaisser le coup précédemment porté sur elle et ajouta en avançant fasse à sa victime.

Sers le point la prochaine fois et prie que je ne sois pas dans mon état pour t'en renvoyer un ...

Puis elle s'agenouilla au coté de la bourgeoise après avoir bousculé ses amis qui furent retenus par d'autre bimbo (fille pauvre) de Baka Gakuen.

Apprendre à se faire respecter c'est d'abord respecter les autres ... tu as vue comment faire maintenant à toi de prendre tes dispositions PRINCESSE

Comme à son habitude, Tsu' se redressa après avoir esquissé un sourire victorieux aux regard de tous. Puis reprit son sac et reprit son chemin vers le hall de l'établissement. La elle reçus un sms de Nana disant qu'elle et les autres Lion's lui donner rendez vous la bas ... Bien. Sans attendre la jeune femme si rendit au plus vite mais une fois arrivée elle constata qu'il n'y avait personne. Il lui fallait donc les attendres. Elle alla alors au comptoir saisis une pomme verte et acide comme elle les aimes et alla chercher le journal pour se poser sur une table. Pauvre Ken, elle n'avait pas remarqué sa présence. Raaa temps mieux dans un sens cela lui éviterais de prendre en pleine tete quelques railleries à son tour.

Tsurara passa devant lui, mais elle ne s'arrêta pas. Eh oui... elle passa son chemin comme si de rien n'était, ne remarquant apparemment pas le jeune homme. Ken ouvrit la bouche d'étonnement et la suivit finalement du regard, voyant qu'elle s'assit à une table après avoir prit une pomme. Il resta un moment à la regarder, pestant intérieurement devant cette indifférence de la part de la demoiselle. Il ferma enfin la bouche et hésita un moment.

* Qu'est-ce que je fais... je vais la voir ? Ou alors je l'ingore à mon tour... kuso, ça m'énerve ! *

Il se leva et se dirigea vers Tsu'. Il se plaça pile poil devant elle et l'interpella.

- Oy ! Alors on dit même pas bonjour à l'un des cinq beaux gosses de Fujito ? Et un ami en plus !... Remarque je suppose que tu m'avais pas vu. Raaaaah, ce que tu peux être tête en l'air des fois ! Faut se réveiller un peu de temps en temps ! Bon, j'te pardonne pour cette fois.

Sans même demander l'avis de la nippone, il prit place en face d'elle à la table. Il commanda un autre café et but lentement, tapotant distraitement des doigts sur la table. Il la regardait de temps en temps alors qu'elle mordait dans sa pomme. Il trouvait que ça lui allait bien de manger des pommes. Ça lui donnait un air kawaii. Eh oui, Tsurara était une fille très jolie, mais pas le genre de beauté artificielle que la plupart des autres filles se crééent. Tsu' avait une beauté naturelle. Pas besoin de maquillage ou d'un look particulièrement soigné, elle était juste elle-même, Tsurara Yoshida, la femme que Ken aimait, même s'il ne le montrait pas. Qu'est-ce qui l'empêchait de se déclarer à elle ? Pourquoi était-il aussi cinglant et sarcastique dans la manière dont il lui parlait ? Tout cela n'était qu'une façade au fond, il ne pouvait pas faire autrement... du moins c'était son point de vue. En plus, Keisuke, le frère de la demoiselle, était pas du genre à laisser sa soeur aussi facilement. Ken trouvait que ce mec en faisait vraiment trop des fois avec son truc du "grand frère protecteur"... c'était démesuré ! Surtout qu'il ne la connaissait pas depuis toujours. Mais bon, Keisuke était un mec bien au fond, et puis, il faisait partie de la bande des cinq de Fujito. Il n'avait pas choisi la bonne fille à aimer... enfin faut dire aussi qu'il ne l'avait pas choisi du tout ! Non, en fait, ça lui était tombé dessus, lorsqu'il l'a rencontrée chez le grand-père de Tsurara. Il avait bien essayé de l'oublier, et il essayait encore en sortant avec pas mal de filles, mais ça ne changait pas grand chose pour le moment. Enfin en tout cas, elle était devant lui ce matin et il essaya d'alimenter la conversation.

- Alors, Yoshida... t'as l'entrainement de basket aujourd'hui ?... A mon avis t'as peu de chance de t'en sortir vu comment t'as la tête dans les nuages. Remarque t'es souvent comme ça.

Et bam ! Encore une réplique cinglante ! Décidément c'était plus fort que lui. Ken Iwase dans toute sa splendeur et sa bêtise naturelle.

La journée n'avait pas forcément bien commencer et pourtant la jeune femme était d'une humeur rayonnante. Y avait-il une raison à cela ? Non après tout elle n'avait fait que se lever, admirer son grand père et partit au lycée. Alors pourquoi malgrès sa petite bagarre avec la riche bourgeoise ne l'avait pas mise de mauvaise humeur ? ... Elle s'arrete sur un article et songea à cette question. ... songea ... songea... songea .... et songea. Raaa c'était trop chercher sans aucune raison valable, peut-etre qu'elle était seulement de bonne humeur en ce jour. La nippone haussa les épaules et soupira. C'est quand elle remordit dans sa pomme et que l'acidité de celle-ci coula sur sa plaie au lèvres que la jeune femme grimaça.

* Peste de bourgeoise ... j'aurais du te crever un oeil sa t'aurais rendus plus belle encore !!! Garce *

Elle nut le temps que de penser à de tel parole qu'un homme l'interpella alors. A ses dire il était connus, et à sa voix assez matchisme mais agréable, la belle reconnus l'homme dont elle était amoureuse. Quel malediction ce dit-elle à ce moment précis. Voila que sa journée commencé mal mais elle allait se poursuivre ainsi à cause de son arrivé. Ba oui quand Ken et Tsu' son ensemble dans la meme pièce ils ne font que s'envoyer des pics ... C'est pas mignon. Elle laissa échapper un sourire quand il prolifera le mot "beau gosse" puis "ami" et enfin "pardon" ... Raaa celui la était donc bien de la meme race que Keisuke toujours à se prendre pour le nombril du monde sans savoir qu'il y a mieu qu'eux dans la vie. Fallait-il une Tsurara dans chaque ville du monde pour oser leur dire de cesser d'exister ?
Sans meme lever la tete de son journal la jeune femme lui répondit alors d'un ton neutre mais quelque peu moqueur.

Beau gosse et ami sont un peu exagéré tu ne trouve pas Iwase ? ...

Ah oui et autre chose, avec lui comme avec tout les gens qu'elle n'apprécier pas et donc les cinqs play boys la jeune femme n'ajouté jamais de marque de politesse après leur nom de famille ou leur prénom. Juste par envi de provoquer ou de leur faire comprendre que leur présence lui est indésirable.

... et me pardonner de t'ignorer tu vois, je m'en passerais royalement. BAKA t'est pas le centre du monde.

Sans meme qu'elle ne l'y est invité Iwase-kun s'asseya à sa table et qui plus est en fasse d'elle. En remarquant cette action elle releva alors la tete fit les gros yeux mais n'ouvrit pas la bouche pour rétorquer quelques chose. Cela n'aurait servit à rien après tout car en effet ce jeune homme n'en fait qu'a ça tete. Mais sa compagnie la metter mal à l'aise. C'était pourtant qu'un garçon parmis tant d'autre mais au final un garçon qui faisait accéléré son coeur à toute vitesse quand elle se trouvait non loin de lui. Raaaa remarquer elle sait maintenant pourquoi elle lui balance des anneries quand elle le voit, celui lui permet de se calmer. Tsurara replongea alors sa tete dans son journal tournant page après page jusqu'a arriver à la fin. La elle constata qu'elle arrivé bientot au dernière page et que cela voudrait dire qu'elle devrait taper la causette à Ken si elle voulait s'occuper, chose qu'il était hors de question, ou bien qu'elle s'en aille, hors propos car elle avait rendez vous avec ses amies ici .... raaaa la poisse. Heureusement pour elle la page qui suivait été la page sport. Qui dit sport dit basket et qui dit basket dit lecture. Mais avant qu'elle nut le temps de finir les gros titre Iwase-kun ajouta une énième bétisse à l'égard de la jeune femme. Raaaa celui la avait le dont de l'agacer.

Monsieur le jardinier ne préférerais pas se taire .... j'ai pas besoin d'avoir la tete libre pour jouer correctement au basket, seul m'imaginer ta tete me permet de détruire mon adversaire ... ahhhhhh c'est dingue comment les sentiments que j'ai à ton égard son pure et sincère tu ne trouve pas ?

* Idiote idiote idiote et ta connerie elle est pure aussi ? raaaaa aller bouge toi dit lui TOUT *

La nippone afficha un regard tueur et amusé a la fois. Certains moment était comme meme bon à passer avec Ken ne ?

Ken fronça les sourcils lorsque Tsurara lui fit la remarque qu'elle ne le considérait ni comme un beau gosse, ni comme un ami. En plus elle l'appelait par son nom de famille, sans aucun suffixe, ce qui l'agaçait au plus haut point. Il décida de ne pas prendre en compte la remarque et de tout simplement l'ignorer. Il tourna donc la tête et ignora la jeune femme complètement. Cependant, il ne s'attendait pas à ce que Tsu' se mette à surenchérir. Elle le traita carrément de "BAKA", lui ! Iwase Ken, le mec le plus cool qui soit ! Enfin de son point de vue... En tout cas, la remarque le mit hors de lui. Il la regarda avec des yeux ronds et une moue mauvaise.

- Yoshida, tu t'es pas regardée ?! T'es encore plus baka que moi ! Et puis pas le centre du monde... c'est pas ce que disent les autres filles.

La demoiselle à la langue bien pendue se mit ensuite à lire son magasine, comme si de rien n'était, ce qui agaça le jeune homme encore plus. Il soupira bien fort histoire qu'elle l'entende.

* Non mais pour qui elle se prend celle là... m'ignorer comme ça... saite desu ! (trad : c'est la pire !) *

Alors elle répondit à sa dernière réplique... et elle y allait franchement. Il bondit presque de sa chaise.

- Nani ??? (trad : Quoi ???) Et la tienne alors ? T'as une tête de cruche ! Des fois t'as vraiment pas l'air mieux que les pimbêches de Fuusha !...

Il fit une pause et tenta de se calmer avant de continuer. Son expression semba totalement changée. Sa voix était presque éteinte. Il baissa les yeux et répondit dans un murmure.

- Tes sentiments pour moi sont très clairs maintenant... pas besoin de me faire un dessin.

Son regard de tueur amusé ne passa pas inaperçu pour Ken, mais il était dans un état second. Un mélange de colère, d'amertume et de tristesse. Il se leva brusquement et s'en alla à l'autre bout de la pièce à une autre table sans un regard pour Tsu'. Il regardait désormais par la fenêtre, les questions se bousculant dans sa tête.

* Alors c'est ça son problème ? Elle me déteste ?... Ben maintenant c'est plus clair. Des fois je me demande pourquoi j'attends toujours qu'elle vienne vers moi... pfff je ferais mieux de me trouver une nouvelle copine pour m'occuper l'esprit. Et pourquoi je me mets dans cet état ? Comme si elle... comme si elle en valait la peine ! *

Même s'il se forçait à penser de la sorte, Ken était touché par les paroles de la jeune femme. Même s'il agissait comme un crétin, il n'était pas insensible.

Ken, Ken, Ken mon pauvre ami sera tu faire fasse à la belle rebelle d'une façon adulte ... Certe oui c'est une Baka, la plus stupide qui soit pour ne jamais oser te dire à qu'elle point elle t'aime, à tel point elle hais les femmes avec qui tu couche, que tu embrasse, frolle de tes mains et à qui tu donne de l'envie de l'amour du plaisir à chacun de tes baisers. Certe oui elle est stupide pour cela mais pour le reste elle reste l'incommensurable réfléchit et rebelle Yoshida-san ... Raaaa que veut tu il y a des gens doué par nature et d'autre ou cela nécessite un certains effort. Le narcissime la jeune femme ne la jamais acquis, elle est née avec.
Rétorquer qu'elle est une Baka oui mais y ajouter un appui pour justifier ton objection serait plus crédible au vue de la jeune femme. Clamer qu'elle est une imbécile est une chose mais sans quoi que ce soit pour appuyer ses dires est tout autre chose. Une chose qui justifie la perspicacité de la jeune femme. Quand à etre le centre du monde non plus encore une fois on voit bien que les hommes réfléchissent avec autres choses que leur cerveau :D ... Le laissant tout de meme finir sa phrase Tsu' cru mourir de rire en l'entendant. Non mais franchement ne savait-il pas compter ?
Toujours sur le meme ton désinvolle et toujours le nez dans son journal la jeune femme rétorqua alors.

S'il te plait rappel moi combien de play boys vous etes ? ... Si je compte bien vous est cinqs ne ? Donc le centre du monde ne te concerne pas encore mon cher. Apprend à réfléchir et surtout à compter avant de vouloir relever mes paroles. Etre franc et narcissique ne s'acquiert pas en deux jours.

La dessus la jeune femme souria mesquinement dans son menton et reporta son attention sur son article. Le basket sa passion, son reve, sa démesure ... hummm que demander de mieu que de devenir une grande championne ne ? Pour cela la nippone y travail. C'est alors que quand la nippone eut le culot de l'ignorer la gamin réagit violemment. Oula pas content, l'enfant fait un caprice. Raaaa les hommes tous si touché par les paroles vraies du dragon Yoshida. Elle releva alors sa tete quelque peu surprise de l'avoir autant énervé pour de petite paroles sans importance. Puis il la compara aux filles de Fuusha.

Oula pousse pas le bouchon trop loin le nombril du monde tu veux ... me comparé à ces poupées barbie sans façon j'ai pas les meme valeurs qu'elle jte signal ... mon petit bobo peut le justifier encore aujourd'hui alors s'il te plait ne me parle pas de ces plaies je les supporte assez tout les jours comme cela.

Enfin quand elle évoqua les sentiments qui la motivée à écrasser son adversaire et qui était soi disant ceux qu'elle ressentait pour Ken, elle remarqua qu'il ajouta un mot de trop "maintenant" ce qui emplifia de nouveau son narcissisme. Elle souria comme un béta et ajouta.

Mes ses sentiments ont toujours était ... souvient tant Iwase, jamais je n'éprouverais autre chose que de la pitié pour toi et tes quatres amis.

Si bien dit, si clair, si pure la jeune femme avait fait passé le message à un troisième play boys. Pourtant en comptant Ken elle en cotoyé 4 mais avec son meilleur ami Jin Fumiko c'est parole ne sortait jamais de sa bouche. Trop d'amour, trop de complicité et d'amitié entre eux deux, bien qu'il sache qu'elle éprouve ce sentiment pour lui également, il n'est encore jamais arrivé à la rebelle de lui en faire part. Bizarrement avec Sano-kun, Keisuke et Ken cela sortait si vite ... Keisuke par ce qu'il la cherche trop, Sano pour l'avoir quitté sans raison et enfin Ken pour l'avoir fait tombé amoureuse. C'est alors qu'une petite voix se mit à hurler dans sa tete:

* Stupide gamine rattrape toi tout de suite ou tu risque de la perdre *

Ecoutant cette petite voix, chose qu'elle n'avait pas fait depuis quelques années, la jeune femme ferma son journal après l'avoir fermé et jetta un oeil sur Ken qui était à présent un peu plus loin. Raaa certe elle avait été un peu loin et elle le savait. Ce qu'elle ressentait pour lui n'était pas comparable à sa relation avec Sano. Elle n'avait jamais réaimé depuis lui et Ken avait fait basculer la balance. Elle se leva alors et alla pret de lui, saisissa son menton pour tourner la tete de ce dernier vers elle et déposa ses lèvres sur le front de l'etre aimé. Après cela elle souria et dit.
Le vilain dragon n'a pas que des mauvais cotés ....

Puis elle souria en coin et le poussa pas trop fort mais assez pour faire vasiller son épaule et dit en le pointant du doigts.

Me compare plus à ces pimbeches ou tu t'en mordra les doigts.

Puis elle s'en retourna à sa place et sortit de son sac son portable ou elle se mit à écrire un message.

* Je suis une idiote, l'embrasser qu'est ce qui m'a prit ... abrutis je vais me faire passer pour quoi maintenant *

Suite à cette pensée elle souria.

Tsurara rétorqua d'un coup de maitre, ce qui mit Ken dans tous ses états. Il avait beau chercher, il ne voyait rien à rétorquer à ce niveau là, elle avait raison. Il n'eut cependant pas trop à se justifier fort heureusement car elle reprit sa lecture tranquillement. Le sourire qu'elle affichait après cette victoire était agaçante et attirante à la fois.

* Raaaah, je la trouve trop jolie comme ça, ça m'énerve ! *

Tsurara semblait ennuyée lorsqu'il parla des Fuusha. Elle semblait avoir eu un incident avec elles aujourd'hui. I s'inquiéta mais tenta tout de même de garder sa contenance habituelle.

- Qu'est-ce qui s'est passé ?... Elles t'ont fait du mal ?

Il serra les poings à cette idée sans s'en rendre compte. Il avait du mal à supporter ces filles, alors si elles s'en prenaient à Tsu'-chan, cela devenait insupportable pour lui. Ensuite, ce fut la claque ! Elle insista sur le fait qu'elle n'avait jamais eu de sentiments pour lui en dehors de la pitié et qu'elle n'aurait jamais rien d'autre. Il recommençait à serrer les poings, mais son coeur lui commençait à lâcher. Il murmura simplement.

- Je vois...

Il s'était retiré à l'écart, commençant à craquer devant ce choc émotionnel, puis Tsu' vint vers lui, lui attrapa le menton et l'embrassa sur le front, ce qui l'étonna au plus haut point. Il ouvrit des yeux ronds et tout ce qu'elle trouva pour justifier cet acte était de dire qu'il n'avait pas que des mauvais côtés. Il ne put réprimer un sourire béat qui ne dura cependant qu'une fraction de seconde le temps qu'il se reprenne. Il roula des yeux et fit la moue en répondant vaguement.

- Toi non plus... tu n'as pas que des mauvais côtés. Et d'accord, j'arrête de te comparer à ces filles. Après tout, on est dans le même camp, faut se serrer les coudes.

Elle retourna à sa place et Ken la regarda alors qu'elle farfouillait son portable. Il la regarda un long moment, se demandant la signification de tout ceci. Il prit alors son portable et tapa un message qu'il envoya à Tsurara : "Alors... je pensais que je te faisais juste pitié. Ce bisou c'était une blague alors ?". Il attendit avec impatience, se maudissant de se laisser aller de la sorte.

Le bobo à les bobos combien en a t-elle eut dans sa vie ... Elle n'avait jamais sus compter car le nombre de fois ou elle était revenus de l'école avec des bleu ne pouvait se compter sur les doigts d'un main. Sa mémoire se rappelé seulement de certains coup mémorables, surtout ceux qu'elle avait prit lors de son arrivé a Fujito Gakuen quand elle s'était mis en tete de s'affirmer fasse aux garçons pour ne pas etre traiter comme de la marchandise. Certains avait été mémorable, d'autre pitoyable et encore d'autre trop important .... Il lui avait fallut s'affirmer par la parole d'abord puis par les coups qu'elle se devaient d'encaisser. Oui car comme elle l'avait précédemment dit a la bourgeoise pour se faire respecter il faut d'abord respecter les autres et savoir encaisser les coups mérités. Tsu' avait été une victime un nombre incalculable de fois avant de pouvoir s'affirmer comme telle. Les cours de boxe or de question, non elle apprit en observant son frère, elle apprit sur le tas le jour ou elle se dit qu'elle en avait marre de ne pas se faire respecter. Beaucoup de filles avaient fait cela auparavant et d'autres filles firent de meme et d'autres dans le futur le ferront encore et encore tels est la vie à Fujito.

Aujourd'hui en ayant avoué qu'elle c'était prit un coup qui avait laissé une marque, Tsu' ne faisaient qu'une fois encore la fille forte. Car etre forte signifie aussi savoir accuser les coups et les encaisser sans se plaindre. Oui elle l'avait mérité et elle le savait. Ce pourquoi elle ne c'était pas permis d'applatir la bourgeoise comme elle l'aurait fait par le passé, non elle ne fut que lui rendre son coup et lui apprendre ... apprendre la vie d'élève des Baka. Oui Tsu' ne fut pas toujours aussi douce, compréhensible et sujette à encaisser. Il y a un ans vous l'auriez vous foncé dans le tas sans se soucier des conséquences que ses coups auraient sur sa victime. Aujourd'hui elle réfléchit beaucoup plus rapidemment et plus sagemment.
Bref elle avait fait parraitre devant Ken sa blessure de guerre et en voyant cela il parraissait quelques peu inquiet et agacé par la conséquence que cela avait eu sur la nippone. Tsu' souria intérieurement.

Eh ? elle du mal ? Non ... les actes ne me blessent que physiquement jamais ne m'atteignent réellement. Elle en revanche la sentit passé.

Puis elle soupira et ajouta

T'en fait pas môman je vais guerir

Devrait-elle tant sourire ? devrait-elle t'en se moquer des gens qui l'entourent ? ... un jour tout ce beau monde lui tombera dessus et ce jour la elle ne se relèvera pas. La pauvre elle en a aidé tellement et en a blessé tout autant. Comme on dit : " La justice triomphe toujours ". Si pour une fois tout ceci ne pouvait etre qu'une fiction. Etre punis pour s'etre défendus ou avoir apprit la vie à des personnes serait si dure pour la jeune femme. Par moment Tsu' se demande si elle arrivera à devenir une femme stable dans sa vie sentimentale, sa vie professionnel, sa vie futur.

Une fois avoir envoyé son sms aux filles pour leur dirent qu'elle ne patienterais pas plus longtemps, elle reçus un sms. Ken ? que voulait-il lui dire ? ils sont à cinquante metre l'un de l'autre et ce garçon lui envoi un message. Baka. Elle ouvrit tout de meme le mail et lu tranquillement. Puis elle souria et répondit

- Ce baiser est sortit de ton imagination... Je n'est pas bougé de ma place. Tu me fait pitier oui mais tes allures de gamin me font rire que veut tu ... Le baiser prend le dans le sens que tu veux seul moi sait ce qu'il veut dire !!!

Ahhh le mystère ... elle aime rester mystérieuse et inaccessible que voulez vous. Puis avant d'envoyé la jeune femme ajouta

- Le jour ou je serais dans ton camps, je te tomberais dans les bras. N'oublie pas que toi et moi sommes différent, je ne cours pas après tout ce qui bouge meme si ce qui bouge n'est pas de Fujito Gakuen.

Puis elle envoya. Après tout elle avait raison.

Ken regarda Tsurara de haut en bas lorsqu'elle lui dit que la blessure n'était que physique. Il prit un air de dégout en répondant, acerbe.

- Toi, blessée que physiquement ? Laisses-moi rire, t'es aussi fragile qu'un vase Ming... mais pas aussi précieuse. Tu fais style d'être indestructible mais au fond t'es juste une fille fragile à l'intérieur. Je suis persuadé qu'à l'intérieur tu chiales assez pour créer une mer. Et que ce soit des filles de Fuusha ou pas, ça n'y change rien.

Sur ce coup là, il avait été en grande partie honnête, même s'il avait dit les choses très crument. Mais bon, c'était Ken Iwase, alors même s'il n'était pas insensible, il se devait d'être aggressif. Son mythe et sa survie en dépendaient. Il continua son petit speech, histoire d'en rajouter une couche.

- Guérir ? Mouais... tu vas finir par guérir c'est sûr, sauf que à l'intérieur, ça va rester, les blessures vont s'accumuler et tu vas finir plus fissurée que le croûte terrestre. Et te fais pas d'idées, je dis pas ça parce que je m'inquiète, juste parce que tu fais pitié.

Il espérait avoir été assez clair et tranchant pour ne pas laisser planer le doute. Et de toute façon, pourquoi il s'inquièterait ? Tsu était énervante avec sa manie de jouer la dure à cuire. Après tout, si elle était incapable d'accepter la souffrance, c'était son problème, pas celui de Ken. Elle semblait se moquer de tout, pas seulemnt de Ken, bien que celui-ci était la cible principale de Tsu'-chan.

Le baiser était arrivé ensuite, perturbant au plus haut point. Ken attendait la réponse à son SMS avec une impatience qui le surprenait lui-même. Il reçu enfin le message, l'ouvrit rapidement et le lu avec attention. Il serra les dents et se cramponna à sa chaise pour ne pas sauter sur la jeune fille et l'étrangler. Non mais pour qui elle se prenait à le rejeter ainsi. Il était le mec le plus beau de cet école, la star. Tsu' avait la chance suprême de cotoyer cet homme incroyable et elle ne cherchait même pas à l'obtenir ? Et en plus elle s'était permis de l'embrasser juste comme ça ? Il soupira et décida de ne jamais lui pardonner cet affront. Il se leva de sa chaise en la faisant tomber bruyamment et s'avança vers Tsurara. Il la regarda de haut, un air glacial sur le visage, plus glacial qu'il n'en avait eu jusque là. Il pointa du doigt dans sa direction.

- Tu crois avoir le droit de m'embrasser pour finalement me traiter ainsi ? Tu dis que je cours après tout ce qui bouge ? En tout cas les filles m'aiment, c'est un fait, je suis adulé, et je ne manquerais jamais de rien. J'ai la gloire ici, et la gloire, c'est le pouvoir. Tu as raison, on est pas dans le même camp, c'est très clair. Moi j'ai tout, toi tu n'as rien. Et pourtant, tu te mets sur mon chemin et tu oses me provoquer. Alors écoutes moi bien, Yoshida ! Désormais, c'est la guerre. Tu as voulu t'attaquer à un des Play Boys, tu vas en subir les conséquences. Mais bon, je suppose que tu sais ce que cela signifie d'être en guerre contre un Play Boy... si tu ne le sais pas, tu vas pas tarder à le savoir.

Sur ces paroles, il se retourna et se dirigea vers la sortie.

La jeune femme resta sans rien dire, sans rien ressentir. Les paroles que profirérer Ken ne l'atteigné pas et cela était un fait. Non elle ne joué pas les dures, elle était dure ... A Fujito les filles se devaient de l'etre si elle ne voulait pas toutes finir dans le lit d'un de ses play boys stupide et égocentrique. De toute façon en laissant entrer Keisuke son demi frère, dans sa famille elle n'eut pas le choix il fallait qu'elle soit dure car contrairement à Ken lui savait taper ou ça faisait mal, la ou Tsurara Yoshida sortait de ses gon et était prette à envoyer son frère à l'hopital. Combien de fois ils se sont battus ? oula meme Keisuke le plus orgueilleux des play boys ne serait s'en souvenir. Il en ressortit avec des bleus le plus souvent et Tsu' avec des ématomes ... ba oui car meme si elle n'aimait pas dire qu'elle faisait encore partie du sexe faible, elle avoué franchement qu'elle n'arriverait pas à battre son frère sur son terrain de jeu.

Ken essayer de taper fort, mais ici tous savait que Tsurara n'avait en aucun cas l'air d'une parfaite jeune nippone, belle et fragile. Non elle s'affirmer toute autrement jamais en jupe, jamais de maquillage, jamais de tralala, jamais de crise devant un rejet etc .... Que voulez-vous son frère l'avais éduqué ainsi, son père également et son grand père par le passé. Que pensiez vous ? qu'elle serait une petite fille fragile alors qu'elle vit dans une famille d'homme ? C'était se tromper sur la famille Yoshida.

Je vois que malgrè qu'on est passé le meme nombre d'année dans ce fichus lycée tu n'a rien appris sur moi. Keisuke et moi sommes de la meme espèce, cette espèce que tu n'arrive pas encore à saisir. Qu'une fille ne chiale pas quand elle se fait frapper sa t'est inconsevable. Je peux le comprendre avec le nombre de fille que tu fais pleurer chaque jour faire fasse à une fille de caractère ça tu le l'apprécie pas. Apprend autre chose, ces qu'à force d'encaisser les coups d'un frère borné et violent, une simple giffle ne peut que me faire sourire.

Cela était dit. Tout le monde savait que les Yoshida était une famille dure et très basé sur certaines règles ... Keisuke était cet exemple car il savait se faire respecter sans utiliser ses points. Tsu' n'avait pas toujours eu cette chance, car étant une fille elle avait du s'imposer toute autrement Ken ne l'avait pas compris encore bien qu'il cotoyé Kei' depuis des années maintenant mais que voulez vous il essayer d'avoir le dernier mot comme d'habitude.

Bon je résume, tu me fais pitié et je te fais pitié mais moi j'ai énoncé mes raisons ... a toi de me les donner. Et s'il te plait ne me dit pas que c'est par ce que je ne sais pas admettre mes erreurs ou bien par ce que je me conduit comme un garçon, ces constatations je peux les faire moi meme.

Cruel dillemme, la jeune femme pouvait bien entendus admettre des points négatifs de sa personnalité et ceux qu'elle venait de citer était ceux qui lui avait été le plus rapporté.

Ahhh ne serais ce pas par ce que je ne te tombe pas dans les bras ... ou par ce que je ne suis pas une fille assez jolie, imbécile et totalement raide dingue de toi que je te fais pitier ?

Là la jeune femme ne s'attendait pas à une réponse positive de la part du play boys mais un petit ricanement... verdict ?
Pourquoi Ken continué d'essayer de la mettre plus bas que terre ? après tout seul son frère en avait la capacité car seul lui connaissé ses points faible.
Quelques minutes après avoir refermer son portable, la jeune femme entendit une objet assez lourd tomber à terre. Elle tourna alors la tete vers l'endroit d'ou provenait le vacarme et constata que Iwase-kun s'avancé furieusement vers elle. Il la pointa du doigt et brassa de l'air un long moment.
Tsu' mit sa main sur ses lèvres pour cacher qu'elle se foutter de lui. Certains de ses propos était stupide comme...

Tu crois vraiment que la gloire et le pouvoir m'interesse ? Non mais franchement Ken tu n'a pas besoin de ça toi non plus .... tu n'a seulement qu'a claquer des doigts pour que toutes les plus belles filles de cette école te tombe dessus. Moi je n'est pas envie d'etre à ton image, me faire courir après par des garçons me soulerais plus qu'autre chose. J'ai donné .

Les play boys qu'elle nom stupide tout cela par ce qu'ils faisaient tombé toutes les filles de Fujito Gakuen. Dans sa tete elle se dit qu'heureusement que les Fuusha Gakuen était arrivé et qu'avec ces pimbèches de beau garçon était venus. Aujourd'hui le reigne des play boys est mis en danger par ses garçons et cette pensée réjouissé la rebelle.

Calme toi l'étalon mis à part toi et Shuji, avec qui je ne parle jamais, j'arrive à m'entendre assez bien avec les trois autres alors que veut tu qu'il m'arrive. Jin est mon meilleur ami, Sano raaa lui c'est compliqué et Keisuke je n'est meme pas besoin de te faire un dessin. Il n'empeche que je n'est pas besoin d'eux pour te ridiculisé.

Puis elle se leva s'approcha de lui et mit ses lèvres pret de l'oreille gauche du garçon pour dire tout bas.

C'est le baiser qui ta mit dans cette état. Ken je suis tout à toi si cela te fait plaisir

Alors la c'était de la provocation. Certe il s'amuser mais ses dires pouvait ne pas etre prit à la légère. Puis elle le vit partir ... Raaa celui la toujours à prendre la fuite quand il se trouvait fasse à elle. Puis ayant une énième envie de le ridiculiser devant un certains nombre d'étudiant qui se trouvaient dans la meme pièce qu'eux, la jeune femme hurla.

He Ken ... vient arracher les mauvaises herbes dans le jardin ce soir, Oneesan se languit de ne pas pouvoir planter ses plantes. Oh et il faudrait passer un coup de peinture dans le salon la peinture est totalement à refaire n'oubli pas.

Pauvre garçon, il ne savait pas dans quel problème il s'était fourré en allant travailler chez le vieu Yoshida. Lui apprécié le garçon et lui donner trop de boulot il n'aimait pas mais Tsu' n'avait pas la meme vision. Si il voulait de l'argent il devait travailler.

Ken avait écouté Tsu' lui dire qu'il ne savait rien d'elle et qu'elle était habituée aux coups. Il se gratta le menton en réfléchissant à la question. C'est vrai qu'il n'avait jamais fait attention à qui Tsu' était vraiment. Il avait passé son temps soit à l'ignorer, soit à lui envoyer des saletés. Ce qui l'énervait le plus était qu'à chaque fois elle rétorquait, elle ne se laissait jamais faire. Il savait quoi répondre sur ce coup là.

- Te connaitre ? Pour quoi faire ? J'ai pas besoin de te connaitre et j'en ai absolument aucune envie. Tu ne représentes rien d'intéressant... juste un cafard ennuyeux. C'est vrai je n'apprécie pas les filles dans ton genre. Une fille, ça ne sert à rien, ça doit la fermer et puis c'est tout.

Ensuite, elle lui demanda ses raisons d'avoir pitié d'elle. Il détourna la tête et soupira d'ennui. Il s'affala sur sa chaise et croisa les jambes sur la table. Il plaça tranquillement ses bras derrière la tête en regardant en l'air. Les quelques filles présentes dans la salle commençaient à s'émerveiller devant le beau gosse. Avant qu'il ne puisse répondre, elle lui demanda si c'était parce qu'elle ne tombait pas dans ses bras. Il la regarda vaguement, le regard insistant. Il se rassit correctement et s'approcha d'elle. Il lui fit son regard le plus ravageur et murmura, en la regardant bien dans les yeux.

- Tu n'as aucun intérêt. Alors que tu tombes dans mes bras ou pas... je n'en ai rien à foutre.

Il se remit dans sa position précédente et continua normalement.

- Je passe mes nerfs sur toi parce que ça me détend... tu es... comment dire ?... Un passe temps.

Tsurara fit comprendre à Ken qu'elle n'avait pas besoin de gloire et de pouvoir. Il la regarda en riant.

- Remarque ça m'étonne pas de ta part. Tu fais comme tu veux, de toute façon ça m'intéresse pas ta manière d'agir... ta vie est aussi intéressante que de regarder la mer** barboter au fond de la cuvette des chiottes.

La demoiselle montra qu'elle n'avait pas peur des Play Boys. Ken rit de plus belle.

- Eh bien je me passerais d'eux, j'ai pas besoin d'eux pour te foutre dans la merde, petite.

Elle s'approcha alors de lui de manière sensuelle. Il ouvrit des yeux ronds et recula. Voilà qu'elle lui faisait des avances maintenant ! Il respirait fortement et tenta de se calmer. Il toussota et murmura.

- Ho... Hors de question. Plutôt creuver ! Même si tu étais la dernière personne sur Terre, je préfèrerais rester seul.

Alors qu'il allait partir, elle voulu l'achever avec ce truc qu'il détestait par dessus tout : le fait qu'il travaillait pour le grand père de Tsu'. Il se figea sur place et bouillonait intérieurement. Il se retourna cependant avec un sourire.

- Tu diras à ton grand-père que ce sera avec plaisir... après tout, il faut bien aider les anciens. Le pauvre... ça doit être dur de vivre comme il le fait.

» Maladresse [Pv Tsurara Yoshida]